Conseils pour soulager bébé

 

 

3 gestes à reproduire à la maison pour apaiser bébé

 

 

 

 

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Bébé pleure et vous ne savez pas pourquoi ? Et si quelques gestes très simples, à reproduire à la maison, pouvaient l'aider à se calmer et à trouver le sommeil ?

 

Au retour de la maison, les jeunes parents se retrouvent vite désemparés face à un nouveau-né qui pleure, sans qu'on ne sache forcément pourquoi. Avant l'âge de trois mois, le nourrisson n'a pas le développement neuronal nécessaire pour comprendre qu'il est une personne différente de sa maman. A la naissance et les semaines qui suivent, il effectue ce qu'on appelle son "quatrième trimestre", pendant lequel Il a besoin de retrouver les sensations qu'il a connues in utero pour être apaisé.

 

3 gestes simples pour calmer et apaiser un nourrisson de moins de 3 mois :

 

Premier conseil pour soulager bébé : le portage

Le portage  pour reproduire l'enveloppe maternante de l’utérus et les mouvements, voire les bruits, que l'enfant a connu in utero. Du jour au lendemain, bébé doit s'adapter à un environnement complètement différent. Porté, le bébé se retrouve balloté et bercé comme il l'était dans le ventre de sa maman. Pour la petite anecdote, dans les pays où les enfants sont portés 24 heures sur 24, il n'existe ni colique, ni pleurs incontrôlés du nourrisson.

Comment faire ? Utiliser une écharpe de portage (uniquement physiologique) ou un porte-bébé, tout simplement, et placer bébé tout contre vous, lors des balades ou même à la maison.

 

Deuxième conseil anti-pleurs : les massages doux au niveau du tube digestif

Pendant 9 mois, bébé n'a eu aucun contact au niveau digestif avec une nourriture autre que le liquide amniotique. Que l'allaitement soit maternel et/ou artificiel, il peut ressentir des petits dérangements intestinaux.

Comment faire ?  Pour soulager bébé, on peut effectuer un petit massage qui part de dessous le nombril et qui tourne dans le sens des aiguilles d'une montre en passant sur les flancs et en se limitant aux cotes inférieur.

 

Troisième manipulation pour calmer les pleurs du bébé : la succion

Dans l’utérus, le nourrisson a facilement accès à ses mains, très proches de sa bouche grâce au contenant que forme la paroi utérine. De plus la succion est physiologique à cet âge. De plus le mécanisme de succion stimule les os du crane au niveau de la base médiane de l’enfant et lui permet de libérer de nombreuses tensions qu’il a pu ressentir pendant sa vie in utero et/ou pendant l’accouchement. Pour un nouveau-né, la succion est un besoin aussi important que le contact maternel.

 

Comment faire ? Pour les parents qui ont le temps : un petit doigt avec un ongle bien coupé a ras fait bien l'affaire. Sinon, une tétine reste pratique dans les premiers temps pour calmer le nourrisson. Si elle n'est pas systématiquement mise dans la bouche du bébé à chaque gémissement, ce besoin important de succion va progressivement se tarir. Si avant l'âge de trois mois, la tétine est enlevée, il n'y a aucune dépendance qui se créée.

 

 

 

 


17/09/2022
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Astuces pour combattre les infections

 

 

 

Conseils et astuces pour combattre les infections

 

 

 

On ne peut hélas pas éviter à notre bébé de tomber malade. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce ne serait d’ailleurs pas forcément lui rendre service car c’est à travers ces maladies qu’il se fortifie. Mais pas question pour autant d’être à la merci des virus grâce à notre plan de bataille pour cet hiver !

 

 

 

 

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Grippe, rhinopharyngite, bronchiolite, angine et otite, voire même pneumonie, restent au top du classement des maladies de l’hiver et notre petit y est forcément vulnérable. D’origine virale et ordinairement contagieuse, ces maladies oto-rhino-laryngologiques sont un vrai cauchemar qui représente 10 millions de consultations en France chaque année. Elles sont toutes accompagnées de fièvre, de nez bouché et parfois de troubles respiratoires, ce qui nous laisse constamment sur le qui-vive. En général, elles ne durent pas plus d’une semaine mais s’attaquent à nos tout-petits sans pitié.

 

La transmission des germes : comment ça se passe ?

 

A partir de 6 mois, bébé est généralement plus vulnérable car les anticorps maternels s’amenuisent (même si l’allaitement continue), aussi il faut s’armer de deux fois plus de précaution. La plupart des virus comme la grippe ou l’angine se transmettent dans l’air. D’autres comme les oreillons choisissent la salive pour se propager : mieux vaut alors éviter les bisous baveux. Les mains sont un autre vecteur de contamination notamment pour la bronchiolite. Une seule parade : se les laver régulièrement !

 

Conseil 1 : une hygiène stricte est votre meilleur allié contre les virus et bactéries de l’hiver !

 

En respectant de bonnes règles d’hygiène, nous pouvons éviter à bébé bien des bobos. On commence par apprendre à notre enfant, quand il est en âge, à se laver les mains avec du savon le plus souvent possible même s’il en profite pour jouer avec l’eau. Laver régulièrement ses jouets et aérer sa chambre assure un environnement sain sans oublier d’utiliser des mouchoirs jetables pour éviter la contagion. Des lavages de nez fréquents avec du sérum physiologique même si c’est désagréable et qu’il nous en veut, sont aussi conseillés.

 

Conseil 2 : adultes faites attention à ne pas contaminer bébé !

 

Dans la plupart des cas, la contamination de bébé se fait via le contact avec une personne infectée. Les membres de la famille et l’entourage doivent se faire vacciner contre la grippe et éviter le contact avec bébé s’ils sont malades.

 

Conseil 3 : créer un environnement idéal pour lutter contre les maladies de l’hiver

 

Même si on ne peut pas lui donner un grand bol d’air frais tous les jours, on peut s’assurer que l’air que bébé respire soit moins pollué. En évitant de fumer, en aérant sa chambre et en s’assurant que la température ne dépasse pas 18 degrés, on veille ainsi à ce que son enfant évolue dans un environnement moins propice aux virus.

 

Conseil 4 : optez pour une alimentation adéquate pour votre bébé

 

Pour rendre notre bébé plus fort en variant son alimentation, nous devons lui donner plus de fer et d’oligo-éléments pour stimuler son système immunitaire. Si bébé a plus d’un an et si notre pédiatre nous a donné son feu vert, on peut lui donner un peu de miel. En plus de sa douceur, le miel avec ses sels minéraux, favorise la rétention du calcium, du magnésium et la production de globules rouges et calme efficacement et naturellement les petits maux de gorge.

Mais si bébé finit par être malade, comment soigner bébé ?

 

On voudrait bien éviter à bébé ces gros bobos de l’hiver, mais ce n’est pas toujours possible. Aussi avoir sous la main de quoi soulager est important, on pense notamment :

 

• Aux dosettes de sérum physiologique pour laver son petit nez

• Au mouche bébé surtout quand il ne sait pas se moucher

• Aux antipyrétiques comme le paracétamol en sirop ou suppositoire pour faire baisser la fièvre et calmer les douleursnous a donné son feu vert, on peut lui donner un peu de miel. En plus de sa douceur, le miel avec ses sels minéraux, favorise la rétention du calcium, du magnésium et la production de globules rouges et calme efficacement et naturellement les petits maux de gorge.

 

Mais si bébé finit par être malade, comment soigner bébé ?

On voudrait bien éviter à bébé ces gros bobos de l’hiver, mais ce n’est pas toujours possible. Aussi avoir sous la main de quoi soulager est important, on pense notamment :

 

• Aux dosettes de sérum physiologique pour laver son petit nez

• Au mouche bébé surtout quand il ne sait pas se moucher

• Aux antipyrétiques comme le paracétamol en sirop ou suppositoire pour faire baisser la fièvre et calmer les douleurs

 

 

 


03/09/2022
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Les conseils pour les pieds de nos enfants

 

 

 

 

Les conseils pour les pieds de nos enfants

 

 

 

 

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Prendre soin des pieds de son enfant, c’est aussi prendre soin de sa santé en général. Des premiers pas à l’adolescence, les pieds de nos enfants sont malmenés. Un ongle mal coupé ou une chaussure pas terrible, ça n’a l’air de rien... Les dégâts engendrés peuvent pourtant être considérables. À tout âge, on fait le point sur les bons réflexes à avoir pour éviter toute complication.

 

 

De 0 à 4 ans :

 

Tant que bébé ne marche pas, et sauf pathologie clairement identifiée, aucun suivi podologique spécifique n’est nécessaire. La vigilance des parents doit s’exercer dès le début de la marche.

Attention aux ongles ! Chez les tout-petits, ils sont naturellement mous par manque de kératine, et ont donc tendance à pousser de façon irrégulière. Pour des petits ongles de pieds au top : avant de commencer, on désinfecte la lame des ciseaux ou du coupe-ongles. On ne coupe que la partie de l’ongle qui dépasse, jamais à ras. Et surtout, on coupe sans arrondir sur les côtés car cela favorise les ongles incarnés. Si les angles sont trop pointus, on peut cependant utiliser une lime.

 

Bien choisir ses premières chaussures. À partir de quand doit-on le chausser ? Si bébé commence à se tenir debout, inutile de se précipiter. Le bon signal, c’est quand il commence à être capable de faire quelques pas. Le choix de ces souliers « premiers pas » ne doit pas être négligé. Quels sont les critères pour trouver les bonnes chaussures pour votre enfant ?

 

Première étape : bien déterminer la pointure de bébé. Pour cela, l’idéal reste de mesurer le pied de bébé avec un pédimètre. Tous les chausseurs en sont équipés, et vous pouvez également vous en procurer en ligne des versions imprimables. Pour bien l’utiliser, l’enfant doit être debout, et son talon correctement positionné. Vous hésitez entre deux pointures ? Choisissez la plus grande. Il faut absolument éviter que les orteils manquent de place et se rétractent une fois la chaussure enfilée, ce que font d’ailleurs les petits par réflexe. Le pieds doit être soutenu sans être contenu. Les petits se plaignent rarement de douleurs aux pieds, car ils sont relativement peu sensibles à ce niveau. Un enfant de cet âge  n’est pas capable de sentir si ses chaussures sont un peu justes, ou si vous les avez attachées trop serrées. Des chaussures trop petites peuvent induire un déséquilibre. Cela doit d’ailleurs constituer une alerte : si vous constatez des chûtes chez un enfant qui n’en a pas l’habitude, il y a de grandes chances pour que ses chaussures commencent à être trop petites.

 

 

Quel modèle choisir ? Premièrement, on évite les semelles trop rigides. Contrairement à ce qui a longtemps été préconisé, il faut absolument éviter les modèles dont la voûte plantaire est renforcée, ces chaussures dont la semelle est dure. Pourquoi ? Jusqu’à l’âge de 4 ans, le pied des enfants est physiologiquement plat. En grandissant, les muscles vont travailler et le pied se creuser naturellement. Les chaussures avec renfort de voûte plantaire vont l’empêcher de se développer correctement. À terme, cela peut favoriser un phénomène de pieds plats non physiologique. Une bonne semelle doit être semi-rigide et surtout anti-déprapante.

Pour les plus petits, on choisit de préférence une chaussure qui soutient la cheville, c’est-à-dire un modèle qui la recouvre entièrement, comme une bottine. Si l’on opte pour un modèle bas, on s’assure que la chaussure ne frotte pas contre la malléole(qui est l’os de la cheville) mais arrive juste en dessous. Dans tous les cas, il doit y avoir un renfort arrière, au niveau du tendon d’Achille. Pour les plus jeunes filles, on évite les ballerines qui ne soutiennent pas la cheville. En été, on choisit des sandales dotées d’un renfort avant, qui ne soient pas complètement ouvertes. Les tongs et les claquettes sont proscrites. Enfin, quel que soit l’âge de l’enfant, on privilégie les modèles avec une semelle et un chaussant en cuir, qui laissent mieux respirer les pieds.

 

Comment bien les attacher ? À l’achat, les podologues conseillent de privilégier les modèles à lacets. Contrairement aux modèles à boucles qui ont tendance à se détendre, le lacet permet un réglage sur mesure. Les scratches sont également tout indiqués, à condition que la bande velcro soit assez longue pour s’adapter au pied de l’enfant. Trop serré, pas assez ? Si la chaussure est correctement ajustée, vous devez pouvoir passer le petit doigt entre le pied de l’enfant et son soulier.

À la maison, on laisse les petons respirer. Chez les plus petits, on oublie les chaussons que l’on remplace par des chaussettes antidérapantes pour éviter les glissades. Marcher sans chaussures, c’est plus naturel et cela fait travailler les muscles de l'arche intérieur du pied.

 

 

Dès 4 ans, on montre ses pieds:

 

Entre 4 et 6 ans, on fait un premier bilan chez un podologue. La consultation podologique a pour objet de déceler une éventuelle déviation des chevilles, ou encore un genu valgum, ce phénomène de déviation des genoux qui cause de nombreuses douleurs. D’après l’observatoire de l’union française pour la santé du pieds (UFSP), 62% des enfants de 5 à 7 ans seraient touchés. L’UFSP recommande de consulter au moment où les enfants entrent en grande section de maternelle. C’est le moment idéal pour vérifier si le pied s’est bien développé pendant la phase d’acquisition et de la marche. À cet âge, il est relativement facile de stimuler les muscles pour corriger un éventuel problème. Le plus souvent, des semelles orthopédiques associées à un suivi régulier suffisent.

Il ne faut donc pas hésiter à montrer les pieds de vos enfants à un spécialiste sans attendre, car plus les enfants grandissent plus il sera difficile d’apporter une correction durable et d’éviter une chirurgie à l’avenir.

 

 

 


27/08/2022
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Savoir reconnaître les vraies et fausses contractions

 

 

 

 

Les vraies et les fausses contractions

 

 

 

 

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Chaque femme ayant enfanté au moins une fois peut assurément vous dire : « Crois-moi, mon amie, quand tu ressentiras de vraies contractions, n’aie crainte; tu n’auras aucun doute... »

Les contractions utérines sont accompagnées d’une douleur certaine, mais qu’en est-il des contractions préparatoires tout au long de la grossesse? Que faire si elles sont à ce point incommodantes ?

Est-ce de vraies contractions? Est-ce des fausses?

 

 

Tout d’abord, afin de distinguer les deux types de contractions, il est bon de connaître les mécanismes les entraînant.

Du point de vue musculaire, les contractions peuvent être engendrées par une pression extérieure soudaine et brutale, tel un éternuement par un bébé qui s’étire de tout son long dans la cavité abdominale tirant sur la paroi ou par toute forme d’effort physique. Bien entendu, il est facile de reconnaître ici les contractions de Braxton-Hicks.

 

En second lieu, du point de vue mécanique, les contractions sont produites grâce au cocktail hormonal lorsque le bébé s’appuie sur le col. Cela a pour effet de stimuler la production des hormones en vue de l’accouchement. Celles-ci sont ressenties telles des vagues. Étant donné qu’elles occasionnent une répercussion sur la dilatation, il s’agit de vraies contractions.

 

Petite parenthèse : l’ocytocine, l’hormone responsable de ces contractions, est également celle qui cause l’éjection du lait maternel, l’orgasme et n’est rien de moins que l’hormone de l’amour!

Ce n’est même pas vrai qu’elles sont fausses!

Les fausses contractions dites de Braxton-Hicks tirent leur nom du médecin les ayant définies, en 1872. Il est tout à fait normal d’en éprouver tout au long de votre grossesse, plus particulièrement dès le second trimestre. On déclare qu’elles sont fausses, car elles ne sont pas directement liées au travail de l’accouchement et surtout, elles n’occasionnent aucun impact sur le col utérin (effacement et dilatation), pourtant elles sont bien réelles.

 

 

Par définition, ces dernières :

 

Sont irrégulières;

Sont ressenties de moult façons;

Engendrent une sensation de resserrement au niveau du nombril, voire une certaine gêne;

Provoquent un inconfort et/ou une tension au niveau ovarien;

S’apparentent à des douleurs prémenstruelles accompagnées de tiraillements et de durcissement.

 

Logiquement parlant, un changement de position rapide de la mère, une station debout prolongée, une activité physique soutenue, une relation sexuelle avec pénétration ou un examen gynécologique peut en être la cause.

Côté biologie/morphologie, il ne faut surtout pas oublier que l’utérus est en fait un muscle qui ne se contracte pas exclusivement pour accoucher. Il peut aussi l’exécuter sporadiquement lors des règles, d’un orgasme et en période post-accouchement sous forme de tranchées afin d’aider la matrice à reprendre sa forme et sa place initiale sous la loge pelvienne.

Il ne faut également pas sous-estimer le pouvoir psychique que l’on exerce sur son propre corps.

 

Certaines peurs majeures liées à la maternité peuvent engendrer des contractions :

La peur de subir une fausse couche;

La peur de la douleur provoquée par les contractions;

La peur de l’accouchement en tant que tel.

Si on tente de les interpréter, c’est comme si notre enveloppe corporelle se tendait et guettait les moindres signes avant-coureurs de ces craintes en causant ainsi des spasmes utérins.

 

 

Pour se soulager

 

Afin d’apaiser les désagréments liés aux contractions de Braxton-Hicks, voici certains conseils répartis en trois grandes catégories : la cadence, la relaxation et les gestes simples à poser.

La cadence

Pendant la grossesse, on se sent forte. Toutefois, n’oubliez pas que vous effectuez un travail colossal, soit celui de concevoir un bébé. Changez de rythme, quitte à prendre plus fréquemment des pauses.

Reposez-vous souvent aussi, écoutez votre petite voix qui vous dit de souffler un peu.

 

La relaxation

 

Ne surchargez pas votre esprit d’inquiétudes diverses. Apprenez à visualiser des images positives.

Buvez suffisamment d’eau tout au long de la journée puisque l’utérus a tendance à s’irriter et à se crisper lorsque vous êtes déshydratée.

Dans le cas de séquences de contractions de Braxton-Hicks trop fréquentes, l’hydrothérapie demeure bénéfique pour ses effets relaxants notamment au niveau musculaire. Prenez un bon bain chaud pour vous y prélasser. D’ailleurs, en cas de doute sur la nature des contractions ressenties, si ces dernières s’estompent, ralentissent et finissent par disparaître, il s’agissait alors de fausses contractions. Toutefois, si elles s’intensifient en durée et également en douleur, le travail a bel et bien débuté.

 

 

Les gestes simples à poser

 

Évitez la station debout prolongée;

Abstenez-vous également de soulever des objets plutôt lourds, même vos propres enfants;•Reportez vos longues excursions en voiture et en avion à plus tard, car elles provoquent des vibrations favorisant les spasmes utérins. En cas de force majeure, prenez une pause toutes les deux heures de trajet;

Inscrivez-vous à des séances de yoga prénatal ou d’haptonomie;

Consultez un acupuncteur;

Demandez à votre médecin ou sage-femme de limiter les touchers vaginaux au minimum.

 

 

Un petit coup de pouce « supplémentaire »

 

Les contractions trop fréquentes et/ou trop intenses peuvent s’expliquer par une carence en vitamine B6. Privilégiez des aliments riches en pyridoxine (foie, pomme de terre, banane, carotte, rognon, haricots, lentilles, légumineuses, noix, avocat, viandes, poissons, germe de blé, son, morue, dinde, céréales à grains entiers, champignon, légumes verts feuillus).

La tisane de framboisier et non de framboise s’avère être LA plante à consommer chez la femme enceinte. Elle possède de nombreuses propriétés gynécologiques tels la prévention des fausses couches, le soulagement des fausses contractions et demeure un excellent tonique utérin. Il est possible de la prendre dès le premier trimestre. En cas de lourd historique de fausses couches, certaines préfèrent attendre la fin du fameux 12 semaines de sécurité.

 

En tisane, il suffit de combiner une cuillère à thé de framboisier pour une tasse d’eau bouillante et de laisser infuser le tout de dix à quinze minutes. Buvez-en entre deux et quatre tasses quotidiennement. Agrémentée de jus ou d’un quartier de citron, elle est ultra désaltérante froide.

Truc : préparer une recette de quatre tasses au frigo afin d’en consommer rapidement tout au cours de la journée.

 

 

Si vous maîtrisez les rouages de l’homéopathie, viburnum opulus est de mise. Si vous préférez privilégier les teintures mères, l’agripaume et le pimbina sont recommandés en ce sens.

Pour soulager les fausses contractions

Aliments riches en vitamine B

Tisane de framboisier

Homéopathie : viburnum opulus

Teinture-mère : agripaume, pimbina

Application locale aux 15 minutes pendant 1 à 2 heures jusqu’à cessation des contractions :

•1 goutte HE camomille

•1 goutte HE lavande vraie

•1 goutte HE basilic

•3 gouttes huile calophylle

 

Tisanes

 

Mélange à parts égales de camomille, mélisse et tilleul – 1 c. à thé de ce mélange, infuser 10 minutes, boire 2-3 tasses/jr

 

Règle de sécurité

 

En guise de conclusion, si vous ressentez toutefois trop de contractions, soit plus de quatre à l’heure et plus de vingt par jour, et ce, avant la 36e semaine d’aménorrhée, accompagnées d’une douleur et d’une pression au niveau du pubis, il pourrait s’agir de signes avant-coureurs d’un travail prématuré. Consultez sur le champ votre responsable du suivi de grossesse.

 

 

 

 


20/08/2022
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Comment gérer la première nuit sans stresser ?

 

 

 

Première nuit avec bébé : comment gérer sans stresser ?

 

 

 

 

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Vous voilà prête à sortir du cocon de la maternité avec votre petit bout ! Impatiente et excitée de retrouver votre chez-vous et de créer un nid douillet à votre enfant mais en même temps angoissée à l’idée d’être toute seule avec ce nouveau-né  dont vous allez découvrir les réactions au fil des jours ! Pour la plupart des parents, la première nuit peut se révéler inquiétante. Peur de mal faire, de ne pas être à la hauteur ! Faut-il dormir avec son bébé ? le laisser dans sa chambre ? Comment doit-on se comporter ?  Une chose est certaine : vous risquez sans doute de passer une nuit blanche !

 

Comment se sentent les parents lors de la première nuit avec les bébés ?

 

Le retour à la maison est un moment d’angoisse. Durant leur séjour à la maternité, les parents sont entourés et aidés, il leur suffit d’appuyer sur un bouton pour avoir un membre du personnel soignant à leurs côtés en quelques minutes. Les biberons sont fournis tout prêt, l’auxiliaire donne le bain avec vous, les infirmières et les sages femmes vous entourent. Souvent, les parents se sentent désemparés face à ce bébé qui exprime ses besoins par des pleurs et il n’y a pas de bouton sur lequel appuyer pour être aidé. Ils vont donc devoir s’adapter, essayer de comprendre leur bébé et répondre par des gestes et soins corrects. Souvent les bébés sont plus éveillés et plus irritables le soir et la nuit est porteuse d’angoisse. D’autant plus qu’il faut surmonter la fatigue physique du à l’accouchement car cela fait souvent plusieurs nuits que le sommeil n’a pas été optimal ! Quel parent ne s’est pas réveillé soudainement pour vérifier que son enfant allait bien, respirait normalement, entre deux biberons ou tétées qui vous réveillent toutes les 3 ou 4 heures .

 

Comment chacun des parents à t-il tendance à se comporter avec l’enfant ?

 

Il s’agit pour le papa souvent de la première nuit avec son bébé donc pour lui c’est un grand changement, il va devoir trouver la juste place entre son épouse devenue la mère et son enfant. Pendant quelques jours chaque membre de la famille va devoir s’adapter et trouver sa place

Quels sont les gestes à pratiquer la première nuit avec bébé ?

 

Le retour à la maison est un chamboulement pour le bébé , certains ne veulent pas se détacher du sein de leur maman , d’autres ont besoin d’être câlinés. Dans un premier temps il est conseillé de faire dormir votre bébé dans un couffin ou un petit berceau car les parois sont plus près de lui et cela lui rappelle sa vie in utéro. Sentir des limites le rassure. Ensuite, vous pouvez garder le berceau de votre bébé près de votre lit.

 

Cela a plusieurs avantages: Moins de trajet à effectuer en pleine nuit pour le rassurer quand il se réveille.  Le bébé a besoin de savoir que sa maman n’est pas loin en sentant son odeur et en entendant sa voix. Pour cela n’hésitez pas à lui chanter des berceuses, à lui parler doucement, à tenir des propos rassurants.  Vous pouvez lui faire écouter une chanson calme, la même tous les soirs pour que cela devienne une habitude agréable pour lui.

 

Comment dormir sereinement la première nuit avec bébé ?

 

Pour dormir sereinement, il suffit d’éviter les facteurs pouvant favoriser la mort subite du nourrisson. Pour cela respectez les consignes suivantes: coucher votre bébé sur le dos,  dans un lit à barreaux et un matelas ferme, adapté aux dimensions du lit,  sur un drap housse, dans une gigoteuse. Évitez de mettre une peluche à côté de sa tête, placez-les au pied du lit. Maintenez une  chambre tempérée à environ
20°C et aérée quotidiennement. Ne dormez pas dans le même lit que votre bébé, placez son berceau à côté de votre lit. Et n’oubliez pas de dormir quand votre bébé dort, jour comme nuit !

 

 

 


04/06/2022
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